Qui ne pense d’emblée à vouloir « se sentir bien ! » d’abord ? C’est bien normal !

Or c’est souvent là que commence le piège du bonheur (Russ Harris).
Trop vouloir se sentir bien ! Sinon « On n’est pas ! », « On n’est rien ! », « On ne vaut rien ! », « On n’est pas comme les autres ! ».
Même la différence devient suspecte. Cette uniformisation trop ambitieuse, oblitère un des problèmes humain les plus anciens.

Les TCC : Pour quoi ?

Pour aller bien !

Longtemps axées sur les Troubles psychiatriques les TCC sont désormais considérées également comme des Thérapies de Bien Etre et même de Développement Personnel s’adressant aux problématiques communes auxquelles tous un chacun peut être confronté lors d’un accident de la Vie – ou d’un désir de changement.

Buts

Redevenir optimiste, profiter des plaisirs de la vie, être sage, assertif et attentif, actif, interactif, fonctionner positivement, utilement pour moi et pour les autres, me connaître, m’accepter, m’aimer, éprouver de la compassion, orienter mes activités vers mes valeurs personnelles, rester en contact avec le présent, la réalité des choses, avec mes émotions, avec autrui, être proche, ne plus éviter mes expériences intérieures, extérieures, m’adapter à mon environnement, ressentir les conséquences de mes comportements, évaluer mon impact sur mon milieu, comprendre, agir, interagir, communiquer… est au programme des TCC.

Certes la souffrance fait partie de la vie, ne pas vouloir souffrir est naturel, c’est parfois impossibleMais souffrir moins ou ne plus souffrir est possible. Comment faire face ?

Et à la base, c’est assez difficile. D’autant qu’on a inventé des souffrances nouvelles sur des besoins artificiels du moins en Occident, d’autres souffrance sont ailleurs notoirement plus prosaïques.

« La souffrance ! Ne pas pouvoir m’en débarrasser, ni la supprimer, ne pas pouvoir l’éliminer me fait souffrir encore plus, le stress me stresse, l’angoisse m’angoisse, mon corps m’affole, je déprime de déprimer et de ne pas pouvoir éviter de déprimer, une catastrophe personnelle me guette, en tout cas je sens que ça ne va pas ! ». Ce dernier point se révèle souvent vraiment vrai ! Qui ne ressent pas parfois un désespoir ??

 « Mais j’ai besoin de m’adapter, de me comporter positivement, de ressentir, adéquatement des bons feelings, d’aimer, d’être aimé, de communiquer… »

Le « Pour quoi » devient un « Comment faire ? »

Une culture médiatique qui revendique pour chacun « d’être bien dans sa peau ! » contraint chacun à rechercher individuellement à appliquer des standards de vie parfois extravagants, ou à se replier sur soi-même à distance des autres, pour moins souffrir ce qui ne marche pas bien sûr et même au contraire amplifie le problème… Où est la réponse au juste ? Revenir à la compassion pour soi.

Faire face

O

n a vu notre société incertaine développer une emprise du chacun pour soi très dommageable pour le développement des affects, quant au soutien relationnel et à la communication normal que chaque individu devrait avoir et respecter naturellement avec ses semblables pour aller mieux et se sentir mieux…

Si des espoirs apparaissent liés aux outils sociaux et aux nouvelles technologies dont nous nous sommes dotés, issues de recherches de plus en plus sophistiquées, mais qui comportent eux-mêmes des contraintes et des exigences nouvelle, le message est qu’il fait plus de en plus être « compétent » voir « Ad-Hoc »…

Les réseaux sociaux sont biaisés, l’insécurité est sourdement présente même si un certain confort et des facilités matérielles sont possibles, les structures familiales ont éclaté, les nouveaux couples ont du mal à survivre ou à se recomposer sans problèmes… Finalement en guise d’indépendance, c’est l’individu qui souffre sans trop savoir pourquoi. C’est pourquoi la méditation et la psychologie positive proposent de réactiver altruisme social ontologique.

Il ya enfin actuellement et pour tous, cette angoisse sociale du lendemain, de l’avenir de nos familles, de notre société. Le travail lui-même n’est pas toujours présent ou sécurisant, pour certains mêmes la survie biologique de l’espèce serait en jeu…De nombreux nouveaux stress se manifestent face auxquels il faut savoir faire face sans se soumettre..

Intégrer une psychologie positive apaisante et propice à l’adaptation est un objectif, respecter nos propres valeurs et atteindre nos but, restent également la meilleure des choses.

Le secret des TCC est : Ne pas éviter les problèmes, les résoudre !

Parfois Sur-réagir émotionnellement aux problèmes crée des problèmes réactionnels plus graves.

On ne tentera leur suppression miraculeuse, mais de bien les analyser et déclencher un programme thérapeutique adapté focalisé sur le trouble et centré sur les processus qui conduisent aux comportements utiles vraiment, et qui en viendront à bout. Le remède sera moins pire que le mal…

« Ensuite j’aurai mérité ce bien être qui peut survenir d’avoir résolu la situation, d’avoir en accès aux véritables enjeux psychologiques que je me posais ».

Analyse fonctionnelle

Si nous partons, d’une anamnèse, d’une analyse comportementale de ce qui maintient le trouble en place, c’est bien parce que nous allons focaliser la thérapie sur ce qui pose problème, ce qui crée les symptômes que nous n’avons pas peur d’aborder et les processus qui les ont amenés, ainsi que les ressources qui permettront de les traiter et de faire le chemin inverse.

Les TCC ne sont pas infaillibles, certains troubles ne sont pas guérissables, seulement améliorables, les problèmes n’ont pas tous des solutions. Mais les TCC doivent être utiles.

A la fin d’une TCC, on interagira mieux, on comprendra mieux les autres, on se connaitra mieux aussi et même en profondeur, même si comprendre n’est pas résoudre. On pourra agir différemment, être autrement soi-même.

A la fin d’une TCC, on a parfois entièrement redessiné son projet personnel, professionnel, ou plus simplement on aura pu résoudre une difficulté, on sera plus autonome, moins anxieux ou s’adaptera mieux aux circonstances, on aura changé… L’acceptation et la connaissance de soi aideront à vivre mieux.

Et puis… Le changement

Avec la prise de distance le lâcher prise de la pleine conscience, on pourra enfin se comporter autrement.

On aura pu changer ce qu’on pouvait changer, et accepter de na pas essayer de changer ce que soi-même on ne peut pas changer ou contrôler.

Cela commence par accepter les faits comme des faits, et finit par ce fait d accepter cette expérience que la réalité soit la réalité et non trop simplement croire qu’elle est ce que j’en pense, soit défusionner ma pensée et la réalité.

C’est déjà un premier changement, ensuite on peut agir.

Le changement est inéluctable, c’est la chose la plus certaine dans notre monde, La chose la plus sûr c’est qu’il y aura toujours du changement, (A. Christensen) cela fait partie de la vie et je ne peux pas ne pas me comporter.

Renouer avec la vie, les TCC aident à cela….

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